Lauréat :
Maxime Coton, pour son œuvre à ce jour, plus précisément son recueil de poèmes Le geste ordinaire (L'Esperluète, 2011).
Jury :
Éric Brogniet, Jacques Crickillon et Claudine Gothot-Mersch.
Extrait de l'argumentaire du jury :
Le rapporteur du jury, Éric Brogniet précise que le lauréat est un tout jeune poète de 25 ans dont la poésie est manifestement ancrée dans des préoccupations sociales et une pratique artistique originale qui s’appuie sur la maîtrise de plusieurs disciplines : la vidéo, le son, l’écriture. Louviérois de naissance, il a étudié à l’Insas, où il a concrétisé les passerelles entre ses différentes passions, (la musique et l’écriture) et découvert l’art radiophonique, les musiques électroacoustiques et le cinéma. Le recueil Le geste ordinaire porte le même titre qu’un film réalisé aussi par Maxime Cotton, qui traite également d’une connivence dans la pudeur et la force de l’amour filial.